Tu es en quoi ?

La bagnole, c'est l'Audi TT 2006 de Riva (comme indiqué dans les mots clés) mais j'imagine que tu te demandes ce qu'a voulu dire César par « codes »... Auquel cas, je ne peux que me joindre à ta perplexité.

Oui, voilà. (Je la connais, la voiture )

Curieux que vous n'utilisiez pas ces expressions en Belgique. Dans le langage courant en France, les veilleuses, les codes et les plein phares sont les feux de position, de croisement et de route.

Ben, chez moi, on dit feux de position, petits phares et grands phares. Mais pourquoi « code » ?

C'est pas plutôt petits phares, feux de position et grands phares ?

Je l'ignore, pour code.

En réalité les phares n'ont rien à voir avec cet éclairage particulier. Je suis sur une route sur laquelle on est pas censé aller, dans la mission de Morello ; ce n'est qu'un défaut des plaquils de ce coin.

Ben Condor, je conduis pas encore, donc je sais que les feux de position, c'est une appelation commune, mais je ne sais pas bien à quoi ça se rapporte.

Ils ont au moins économisé les plaquils dans ce coin.

D'après mon père, on dit, par ordre d'intensité lumineuse : feux de position, phares normaux et grands phares. Mais il a hésité lui-même sur « phares normaux ».

Et sinon, César, comment as-tu fait pour passer au travers des barrières qui empêchent d'aller sur cette route ?

Amusant, et les clignotants, vous les dites comment en Belgique ? Les phares tic-tac ?

J'avais viré les collisions de la voiture, pour jouer dans le décor de tous les niveaux facilement.

Non, les clignotants... Ou clignoteurs, ça dépend des régions !

Et comment ça se fait que la voiture ne tombe pas dans le vide, puisqu'elle a plus de collisions ? Et même, Tommy, il en a bien des collisions, lui. Comment passe-t-il au travers des murs invisibles ?

Justement, elle n'a plus de collisions. Mais elle a toujours celles des roues.

Et comment ça se fait qu'elle ne traverse pas les roues, alors ? Et les roues, comment ça se fait qu'elles traversent les murs invisibles ?

Ce ne sont pas les mêmes collisions. D'ailleurs, les roues sont les premières à passer à travers du sol en général.

J'ai bien compris que les collisions de la carrosserie et des roues sont différentes. Mais justement, pourquoi la carrosserie qui n'a plus de collisions ne s'effondre pas sur les roues ? Et pourquoi ces roues qui ont toujours des collisions arrivent à franchir les collisions des murs invisibles ? La logique de tout ceci m'échappe.

Ça ne fonctionne pas comme ça, tous les élements d'une voiture forment un ensemble au niveau des collisions, ils ne vont pas se passer les uns au travers des autres. Et à mon avis, les collisions des roues sont telles qu'elles permettent de traverser la collision d'un mur, au contraire de celles de la carrosserie.

Il doit donc y avoir un grand nombre de collisions différentes pour prévoir cette éventualité de traversabilité inter-collisionale.

Les collisions statiques, du décor, sont dans le fichier Tree.klz, alors que les voitures possèdent les leurs. Les seules réelles collisions d'une voiture couvrent d'ailleurs uniquement sa carrosserie.

D'autant plus qu'il y a une collision différente entre la voiture à l'arrêt et la voiture en marche.